« Nous sommes fiers du djihad ! Si les Occidentaux veulent lui donner une autre définition, c’est leur problème ! »
Ça, c’est la déclaration d’un imam “français”, Mohammed KARRAT, en 2014.
Cet imam est également professeur au lycée Averroès, l’établissement islamique privé basé à Lille épinglé de nombreuses fois par le passé pour ses liens avec les Frères Musulmans et les milieux islamistes.
Les Frères Musulmans, c’est une organisation interdite dans plusieurs pays, car considérée comme terroriste.
Mais peut-être que Mohammed KARRAT parle seulement d’un djihad non-violent, “spirituel” ou “intérieur”, comme le croient naïvement nos bien-pensants de gauche ?
L’imam-professeur a la courtoisie de nous expliquer (sans aucune honte) ce qu’il entend par “djihad” :
« La résistance palestinienne a revivifié le vrai sens du djihad, […] diabolisé par les ennemis de l’Islam ! »
S’il soutient la Palestine et le Hamas, ce n’est pas un hasard : ce mouvement islamiste et ultranationaliste qui est responsable de l’attaque contre les civils israéliens en octobre dernier a justement été fondée par les Frères Musulmans.
Les choses sont claires : le djihad, c’est le massacre de masse, la torture des civils et l’antisémitisme le plus virulent. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est un imam-professeur.
Après avoir exhumé ces déclarations ignobles, j’ai immédiatement interpelé Gérald DARMANIN pour lui demander des explications sur son inaction face à l’influence islamiste dans ce lycée sous contrat avec l’État.
Comment est-il possible que Mohammed Karrat, 9 ans après ces propos, soit encore sur notre territoire ?
Pourquoi sa mosquée et son lycée n’ont pas été fermés ?
J’attends toujours sa réponse.
Heureusement, le préfet a fait savoir qu’il avait saisi la justice contre Mohammed Karrat suite à mon signalement.
La justice fera-t-elle son travail ? Difficile à dire.
Une chose est sûre : il suffit d’un seul tweet pour débusquer un agent d’influence islamiste.
C’est la preuve que l’emprise des Frères Musulmans en France a une seule cause : la complaisance des politiques comme Darmanin, qui font le choix de l’impuissance.