MON PARCOURS

“Tu es sérieux ?"
Tu veux utiliser un hélicoptère dans les Alpes ?”

Certains de mes camarades sont incrédules face à ma proposition.

Pourtant, je suis sûr de moi. Utiliser un hélicoptère dans le cadre d’une action anti-immigration à la frontière franco-italienne permettrait de marquer les esprits. Ce serait du jamais-vu.

Je suis obnubilé par la réussite médiatique de l’opération baptisée “Defend Europe”. Si elle porte ses fruits, cette initiative audacieuse permettrait de faire connaître à tous les Français la situation au Col de l’Échelle. Des milliers de migrants empruntent ce point de passage clandestinement tous les jours, ce qui étrangement ne semble pas captiver l’attention des médias.

Il faut dénoncer cette situation.

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Nous sommes au début du mois d’avril 2018, en pleine joute parlementaire sur une nouvelle loi concernant l’immigration. Le timing est parfait.

Nos opposants attendent le moindre faux pas pour avoir ma peau et rêvent de dissoudre mon organisation, Génération Identitaire. Néanmoins, je décide que le jeu en vaut la chandelle. Je fonce.

J’ai simplement omis un petit détail qui me coûtera cher quelques années plus tard…

… quand la Justice décidera en première instance de me condamner à 6 mois de prison ferme et 75 000 euros d’amende pour cette action.

Mais avant de révéler cet oubli regrettable, revenons sur mon parcours.

Comment ai-je évolué d’une adolescence ordinaire à celui que l’on considère comme le lanceur d’alerte le plus honni des complices de l’immigration et de l’islamisation ?

Un début de jeunesse à gauche…
jusqu’au basculement

Dans mon charmant collège de province, tout le monde penche à gauche.

Surtout les profs.

À mes yeux, c’est la norme. Je crois au “vivre-ensemble”, à la “tolérance”, aux bienfaits de la “diversité”.

Jean-Marie Le Pen représente l’incarnation du mal. D’ailleurs, en 2002, je défile contre lui avec mes camarades de classe. Nos chers professeurs nous autorise à sécher les cours pour protester contre le Front National

Pourtant, je sens progressivement que quelque chose cloche.

Le 17 mars 2004, Karim m’insulte de “sale blanc” en plein cours de maths. Je réagis : “Ta gueule, Karim !”.

Le ton monte. Que fait ma prof ? Elle me demande de me calmer et menace… de me virer de son cours.

C’est la goutte d’eau qui me fait abandonner mes anciennes convictions de gauche.

Parallèlement, je constate que la vie quotidienne dans la cours de récréation se dégrade à une vitesse fulgurante.

Le “vivre-avec” devient chaque jour plus explosif :

  • Insultes et pluie de coups pour un regard parce que je suis différent de leur bande.
  • Trafic de cannabis dans le collège, sous le regard complice de la direction parce qu’il ne faut pas “faire de vagues”.
  • Haine affichée pour notre pays: des tags “Nik la France” sur les murs et les tables.

Certains élèves vont jusqu’à afficher leur soutien aux djihadistes d’Al-Qaïda en hurlant “Vive Ben Laden !”.

Et nos chers enseignants ? Ils préfèrent jouer les autruches.

Mon voisin en cours d’Histoire, Ali, fier de ses origines marocaines, se réjouit publiquement des attentats du 11 septembre et espère que “les musulmans finissent par écraser les juifs”. J’alerte la direction, sans conséquence. J’apprendrai des années plus tard son expulsion de notre pays à cause de sa radicalité.

Au lycée, puis ensuite à la fac à partir de 2008, les choses empirent.

Je vis désormais dans la banlieue de Lyon. Avec le sentiment de vivre en terre d’islam comme un “dhimmi”, en minorité dans mon propre pays.

Tous les vendredis, je me fais une petite randonnée improvisée à cause d’une rue bloquée par des prières.

Lorsque j’allume la télé ou que je lis les journaux, je ne vois personne s’opposer à cette colonisation. C’est comme si je ce que je vis au quotidien n’existe pas.

Je me sens seul et abandonné.

Mais cette prise de conscience ne m’entraîne pas vers l’impuissance, au contraire.

Je me sens habité par la flamme de combattre et celle-ci ne demande qu’à tout embraser.

Au mois d’août 2012, je décide de fonder Génération Identitaire avec un groupe d’amis.

Cet acte va bouleverser ma vie.

Comment mon petit groupe de militants

va faire trembler le gouvernement

Avec ma centaine de camarades, nous visons un seul objectif : imposer sur la scène médiatique le thème de l’immigration massive et de l’islamisation.

Notre stratégie consiste à marquer les esprits par des actions chocs, sur le modèle de Greenpeace.

À cette époque, l’islamisme est un sujet tabou. Pourtant, ce fléau se propage. La France compte déjà plusieurs milliers de mosquées radicales.

Pour le lancement de notre mouvement, nous voulons frapper fort.

Le 20 octobre 2012, nous occupons pacifiquement le toit de la grande mosquée radicale de Poitiers

Nos adversaires sont hystériques :‍

  • BFMTV évoque par la voix d’un de ses journalistes “un acte de guerre
  • Le Premier ministre écrit un communiqué rageur où il évoque « une agression contre la République et ses valeurs »
  • Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a quant à lui dénoncé une « provocation haineuse » et des « amalgames douteux »
  • Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a également « exprimé sa forte indignation » dans un communiqué, face à « cette occupation grave, sauvage et illégale » qui est « sans précédent dans l’histoire de notre pays

Cette action me vaudra 8 ans de persécutions juridiques, une garde-à-vue, un contrôle judiciaire, une condamnation en première instance à un an de prison avec sursis et 10 000 euros d’amende.

Mais en menant le combat jusqu’au bout et grâce à mes soutiens, j’arracherais finalement une victoire définitive devant les tribunaux. Malgré la pression des islamistes qui rêvaient de me voir condamner, je suis intégralement relaxé de toutes les charges qui pesaient sur moi.

Durant de nombreuses années, je vais organiser de nombreuses opérations médiatiques à grand succès : campagne “Génération Anti-Racailles”, occupation de la permanence du Parti Socialiste, bateau anti-migrants en Méditerranée… jusqu’à un dernier coup d’éclat.

Le 21 avril 2018, j’effectue en effet mon ultime action avec mes camarades.

Je profite du débat national sur l’immigration à l’Assemblée pour mettre en place une frontière symbolique entre la France et l’Italie. Nous voulons dénoncer l’omerta médiatique concernant le point de passage des clandestins au Col de l’Échelle.

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Cette opération est baptisée “Defend Europe”. L’action est un immense succès qui déclenche la colère de tous nos opposants. Nous avons crée un raffut tel que le Ministre de l’Intérieur a été obligé de réagir en envoyant des renforts de police et de gendarmerie pour sécuriser la frontière, ce qui assèchera cet accès pendant plusieurs semaines.

Pour obtenir une telle victoire, je dois reconnaître que nous avons utilisé les grands moyens : drones, plusieurs tonnes de matériels, des 4×4, un hélicoptère…

Petit problème : j’ai fait l’erreur de louer cet engin volant avec un chèque à mon nom. A cet instant, je ne me doutais pas que la Justice mobiliserait une trentaine d’enquêteurs afin de traquer les organisateurs de cette opération de communication.

Je finirais donc par être identifié comme le principal organisateur à cause de cet élément. Des juges très politisés s’appuieront là-dessus pour me condamner à de la prison ferme en première instance quelques années plus tard (je finirais néanmoins par gagner cette procédure, comme toutes les autres).

Toutes ces actions auxquelles j’ai participé m’ont apporté une conviction indélébile : la victoire est à portée de main si nous lançons l’alerte sur les bons sujets, au bon moment et de la bonne manière.

Toutes ces campagnes ont connu beaucoup de retentissement et ont permis de faire bouger les lignes.

Mais en réalité, mon engagement au sein de Génération Identitaire ne reflétait qu’une (petite) partie de mes activités politiques.

Mon engagement public (et caché)
en parallèle de mon activisme politique

A côté de mon mouvement de jeunesse, je travaille comme prestataire pour le Front National.

Avec Marion Maréchal lors de la campagne des régionales en PACA en 2015, je révèle que l’imam islamiste Sadouni se vante d’avoir “une oreille attentive” de la mairie de Nice de Christian Estrosi.

Ce dernier est connu pour ses nombreuses compromissions avec l’organisation (classée terroriste dans plusieurs pays du monde) des Frères musulmans. Cette divulgation compromettante aura un impact électoral important : au 1er tour, Estrosi finira second derrière la tête de liste du FN avec une distance humiliante de 14 points.

En 2020, je mène tambour battant une grande campagne #Saveurope pour dénoncer le pacte des migrations de l’Union Européenne.

Ce nouveau dispositif, concocté en catimini, vise à appliquer les principes du Pacte de Marrakech, qui reconnaît à n’importe qui le “droit à la migration” et encourage l’invasion de notre continent. Belle idée, n’est-ce pas ?

J’aide à piloter cette campagne numérique afin d’alerter l’opinion publique. Elle permet de réaliser l’union de toutes les forces de droite identitaire au Parlement Européen contre la submersion migratoire.

Mais au quotidien, j’ai également un autre engagement, plus discret.

Je fais partie de l’équipe resserrée du site Fdesouche.

Chaque jour, nous sillonnons internet afin de dénicher les infos que les médias aimeraient dissimuler à propos de l’immigration.

Nous obtenons beaucoup de victoires grâce à des révélations explosives. Par exemple, le 5 octobre 2022, nous avons réussi à faire annuler une conférence d’islamistes à Château-Chinon.

Nous avons également sorti l’affaire de la candidate LREM voilée, Sarah Zemmahi, fait connaître la manif LGBT de Touraine interdite aux Blancs ou encore exhumé les verbatim anti-Blancs du rappeur Youssoupha.

Mais notre tableau de chasse ne s’arrête pas là.

Nous avons également été les premiers à :

  • parler des viols de masse en Angleterre, bien avant la presse nationale anglaise, en relayant la PQR anglaise.
  • évoquer les agressions sexuelles du Nouvel An 2016 en Allemagne et à relancer l’affaire outre-Rhin.
  • permettre la déprogrammation du concert de Black M lors du centenaire de la bataille de Verdun, en 2016.

Mes amis me demandent souvent d’où vient cette flamme qui m’habite.

Hormis mon expérience de la minorité dans ma jeunesse, j’ai aussi vu de manière très concrète à quoi pourrait ressembler la France de 2050.

Cela s’est fait d’une manière très inhabituelle et j’en ai été profondément marqué.

Découvrez dans les lignes qui suivent comment j’ai pu voir à quoi ressemblerait notre futur.

Mon carburant pour dénoncer les compromissions de tous les complices de l’islamisme

Mon vécu avec la “diversité” et la trahison de nos élites constituent sans nul doute les 2 moteurs de mon engagement.

Mais j’ai trouvé du combustible de manière imprévue dans… mes voyages humanitaires. Qui l’aurait cru ?

En effet, j’ai pu voir le futur de la France à l’extérieur de nos frontières.

À Mitrovica, j’ai vu l’enfer vécu par les Serbes du Kosovo qui refusaient de céder la terre de leurs ancêtres aux musulmans.

À Beyrouth, j’ai observé l’éclatement de la société multiculturelle qu’on nous vend pourtant comme un idéal.

À Karakosh en Irak, j’ai vu la peur et l’angoisse dans les yeux des chrétiens, quelques mois avant que l’État islamique lance ses cavaliers de l’apocalypse dans la plaine de Ninive.

En Syrie et en Égypte, j’ai compris la menace que représentait la confrérie des Frères musulmans quand on la laisse prendre le contrôle de son pays. J’ai constaté le sort des minorités religieuses, contraintes de vivre dans la peur.

Combien de fois ces chrétiens persécutés m’ont-ils averti ?

« Regardez ce qu’il nous arrive… mais demain ce sera à votre tour…, si vous ne résistez pas alors qui le fera ? ».

Tous ces voyages ont ancré en moi la conviction qu’une société multi-ethnique et multi-culturelle mène au désastre. Je suis rentré à chaque fois dans mon pays avec la ferme intention de me battre. Je refuse que ma civilisation implose à cause de l’invasion migratoire et de ses complices.

Êtes-vous prêt à m’aider dans ce combat ?

Ce que je peux accomplir
grâce à vous

Mes révélations provoquent régulièrement des dégâts.

Je ne me contente pas de cibler un camp.

Je dénonce certes l’islamo-gauchisme :

  • j’ai révélé les propos antisémites de l’imam Tataï. Malgré le soutien des élus locaux clientélistes et de la presse, il a finalement été condamné à 4 mois de prison avec sursis en août 2022
  • quand j’expose que Karim Benzema “aime” une publication sur Instagram reprenant la rhétorique djihadiste et s’attaquant à la France, celui-ci m’attaque devant les tribunaux
  • en dévoilant publiquement que l’imam Daffé était le guide spirituel des frères Merah, ce qui entraîne un nouveau procès contre moi

Mais je dénonce aussi un mal singulier dont on parle peu, l’islamo-droitisme.

Il s’agit de toutes les compromissions impardonnables d’élus de “droite” avec les islamistes.

J’en ai révélé de nombreux exemples :

  1. quand Christian Estrosi donne les clefs des 20 mosquées de Nice aux islamistes de l’UOIF
  2. lorsque Valérie Pécresse, par l’intermédiaire de son adjoint Patrick Karam, “drague” l’imam extrémiste Mohammed Henniche de la mosquée de Pantin, fermée à cause de son rôle dans la mort de Samuel Paty (+ de détails ici)
  3. de Xavier Bertrand, qui finance via sa Région Hauts-de-France, le Lycée islamique Averroes, la radio islamique Pastel, d’une application halal, etc (+ de détails ici)

Mes révélations tapent là où ça fait mal. En conséquence, nos adversaires me vouent une haine féroce.

En m’engageant pour mon pays, sur le terrain électoral, dans l’activisme ou sur internet, je ne fais qu’accomplir mon devoir.

Mais celui-ci n’est pas sans danger :

  • Risques physiques : notamment quand on affronte les pires militants islamistes et leurs complices. Chacun connait le sort promis à ceux qui affrontent les soldats du djihad.
  • Risques psychologiques : préserver son équilibre mental est un enjeu constant lorsqu’on reçoit quotidiennement des menaces de morts
  • Risques judiciaires : les procès s’accumulent pour me faire taire.

C’est aujourd’hui pour cette raison que je fais appel à votre soutien pour m’aider à mener le combat pour sauver notre pays et l’avenir de nos enfants.

Faites-moi un don maintenant pour financer mes prochaines révélations qui seront vos prochaines victoires.

Ces dernières ont un coût :

  • le financement d’une équipe pour faire ces recherches
  • trier les informations parmi des centaines de documents et parfois des milliers d’heures de vidéos
  • consulter des avocats en amont pour vérifier la légalité juridique de ces indiscrétions

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